En cette sortie de crise, il y a un consensus pour le changement. Le monde d’après est un leurre, mais la société sait qu’elle doit inévitablement bouger pour éviter le pire : une crise sociale d’ampleur.
La société se fissure et le début des débats des présidentielles montrent la crispation de la société, jusqu’au ressentiment. La rumination des vies est la matière première des discours politiques vide du reste.
Alors, dans un mouvement de désespoir, les français déportent leurs espérances sur les entreprises ; en effet, 67%* des français attendent des chefs d’entreprise qu’ils agissent en co-responsabilité avec le gouvernement pour changer le système. Lire la suite ici.